Moi non plus, je n'ai pas été transporté (j'ai de toute façon suivi le truc de très loin) mais si les Bleus avaient perdu, on aurait expliqué qu'ils étaient en dessous de tout car c'était l'année ou jamais vu le parcours hyper-favorable. On peut donc au moins leur attribuer le mérite d'avoir répondu présents, à défaut d'avoir été brillants.
Après, il y aurait peut-être une réflexion à mener sur la légitimité de la Coupe Davis elle-même, qui, à force d'être boudée par les très grands joueurs, est en train de devenir un lot de consolation pour les joueurs "du second chapeau" en mal de titres du Grand Chelem.