Je préviens de suite: j'ai "imaginé" un tel déroulement de façon totalement inconsciente puisque j'en ai rêvé, et que c'était extrêmement réaliste (avec quasiment pas de bizarreries, sauf Geo qui gagnait le GP
). Mais vu l'ampleur que prendrait la discussion, je préfère en faire un nouveau sujet plutôt que de poster ça dans "avez-vous rêvé de SMK?" ...
Concrètement, j'ai rêvé d'un CDM se tenant sur une semaine entière, façon 2012. Le déroulement consistait en six jours de compétition (du lundi au samedi) + un dernier jour freeplay / rangements et consorts, mais où le Battle et le GP étaient chacun répartis sur deux jours, en conservant le système traditionnel quitte à avoir des poules très longues, puisqu'une journée entière leur était dédiée! Le calendrier se tenait donc ainsi, sachant qu'on était une cinquantaine et qu'on utilisait le système de poules de 2012 pour les modes multi:
• lundi: classique avec l'installation, l'arrivée des joueurs, et le TT (sauf qu'on le faisait en one-try à l'ancienne)
• mardi: MR
entier car comme chacun sait, c'est le + court
• mercredi: comme le MR "entier" était épuisant et fini vers 2 h du mat', on ne faisait que les poules, s'étendant genre de 15 à 21 h, et le reste de la soirée consistait en des entraînements pour les joueurs qualifiés, des tournois annexes, etc.
• jeudi: les phases finales de battle, pareil, de 15 à 21 environ, ce qui permettait à tout le monde, public compris, de les voir, et du coup les entraînements pour le GP suivaient, comme les tournois annexes
• vendredi: rebelote avec les poules de GP (qui étaient très longues là aussi)
• samedi: phases finales de GP avec un public énorme car jouées le samedi après-midi jusqu'en soirée, mais ça se finissait vers 22-23 h sur une victoire de Geo (le seul résultat concret dont je me souvienne, en fait) ... et on enchaînait par la remise des prix et la chouille du samedi soir
en même temps (c'était un bordel monstre par contre, à éviter
)
• dimanche: rangement divers
Alors vous avez le droit de trouver ça unanimement très nul, hein. Mais je me suis dit que j'allais en parler, des fois que.